Dans le cadre de travaux neufs ou de modifications de l’existant, nombreux sont ceux qui ont besoin d’anticiper des problématiques d’implantation, de fiabiliser des études ou de vérifier les accessibilités sur site. Et s’ il était possible d’intégrer ces chantiers dans une maquette et d’utiliser ses propres installations comme supports d’études ? Grâce aux relevés laser 3D et à la photogrammétrie, vous pouvez désormais embarquer la réalité terrain dans vos études. Dans cet article, 2c2i vous propose un rapide état des lieux sur le sujet.
La photogrammétrie en réponse à de nombreux besoins.
Que ce soit pour recueillir des données perdues ou hors de portée d’un relevé « traditionnel », obtenir l’exhaustivité de l’environnement géoréférencé à l’échelle 1 ou utiliser les données réelles comme données d’entrée, les relevés laser 3D et la photogrammétrie permettent de couvrir un grand nombre de situations et d’identifier la technologie la mieux adaptée à vos projets.
Dans une utilisation plus poussée, cela peut aussi permettre de créer une visite virtuelle de vos installations pour que vous puissiez communiquer l’ensemble de votre relevé laser à un sous-traitant, un client ou une entité géographiquement éloignée. En somme, vous pouvez proposer un véritable jumeau numérique de vos installations, point de départ de la continuité numérique.
Les ingrédients essentiels pour une photogrammétrie performante.
Pour tirer le meilleur parti des relevés laser 3D et optimiser les performances de la photogrammétrie, il est nécessaire de combiner 3 éléments essentiels. En premier lieu, il est crucial de pouvoir compter sur des partenaires experts en 3D laser. 2c2i par exemple anime une équipe de plusieurs dizaines de projeteurs opérationnels capables d’intervenir sur toutes les unités en zones contrôlées ou classées. Experts du relevé nuages de points pour des projets d’envergure, ces collaborateurs maîtrisent à la perfection l’utilisation des scanners lasers 3D parmi les plus réputés du marché.
Ensuite, pour pouvoir assurer le post-traitement et l’assemblage de milliards de points de relevés, il faut également disposer d’un parc informatique dédié et sécurisé avec des espaces de stockage et des unités surdimensionnées permettant d’exploiter une puissance de calcul éprouvée.
Enfin, pour intégrer les nuages de points au cœur de vos études, il faut être en capacité d’interfacer ces expertises humaines et ces équipements dédiés avec les outils de CAO comme Catia, E3D (PDMS), SolidWorks, AutoCad…